Samedi 26 avril, le complexe sportif et culturel a vu l’inauguration de son nouveau terrain synthétique. Sportifs, élus et habitants étaient présents à l’occasion.
Un moment fort, marqué par la présence de nombreux élus et des membres du Vallées Football Club. La maire, Suzanne Bourdé, a qualifié cet événement de « grand jour » pour les jeunes joueurs, les collégiens et les scolaires. Pour la maire, il ne s’agissait que d’une première étape dans une série de projets ambitieux. Elle a rappelé la construction d’un terrain enherbé accompagné d’une piste d’athlétisme, prévue pour la fin de l’année, visant à bénéficier aux jeunes et aux familles de la commune. Dans son discours, Suzanne Bourdé a mis en avant les futurs aménagements, dont des vestiaires, des tribunes et une salle polyvalente de 100 m² destinées aux scolaires et aux associations locales. Ce projets devraient voir le jour l’année prochaine.
Un projet aux multiples ambitions
Stéphane Macé, adjoint en charge de la vie associative et sportive, a retracé l’historique du projet. Il a précisé que le coût total du terrain synthétique s’élevait à 972 452 € HT, avec une subvention de l’État de 150 000 €. Il a également mentionné le soutien financier de la Région et du Département pour les prochaines étapes du déploiement. Par ailleurs, Stéphane Macé a insisté sur l‘importance de la reconstruction d’une équipe féminine au sein du club. Le président du Vallées FC, Samuel Briens, a rappelé la fusion des clubs de Plénée-Jugon et Jugon-les-Lacs, mettant en lumière les 250 licenciés du club, dont 150 jeunes, avec l’équipe A évoluant en Ligue, en R3. Il a également plaisanté sur le fait que, grâce à ce nouveau terrain, les jeunes joueurs rentrent chez eux propres après les entraînements.
Les intervenants, dont Thierry Andrieux et Vincent Alléno, ont salué l’esprit de coopération entre les acteurs locaux et l’importance de cet investissement pour l’avenir des communes. Corentin Le Fur, député, a quant à lui souligné la valeur ajoutée que ce nouvel équipement apporte au territoire.
La suite est à retrouver dans l’Hebdo de la semaine.